Sigirîya et son caillou
Nous arrivons en bus à Sigirîya en milieu d’après-midi. Notre guest house est très sympa et proche du centre de la ville. Le reste de l’après-midi, nous nous promènerons vers le fameux rocher. Alors que nous mangeons une crêpe appelée ici le roti, nous pouvons observer de la terrasse en hauteur du restaurant deux personnes sur un éléphant ( enchainé aux pieds), je commence à m’énerver et à crier « shame on you, shame on you » ( Maeva adore les animaux part 2).Le soir, nous goûteront enfin le khotu ( merci Elize pour l’adresse 😉 ), un autre plat typique sri lankais.
Le lendemain, levé vers 5h afin de monter le Pidurangala Rock, voisin du Sigirîya Rock avec beaucoup moins de monde et une belle vue sur ce dernier. Notre tuk tuk vient nous chercher pour y monter. Nous commençons la montée par des petites marches et finissons par une escalade entre des gros rochers. Malheureusement, le temps que nous montions, le soleil s’est déjà levé. Nous arrivons au sommet mais le temps n’est pas avec nous ce matin, une grosse brume cache le fameux rocher. Nous attendrons 2h que la vue se dégage en compagnie de deux lyonnaises et de singes. N’ayant pas vu le temps passé, notre chauffeur de tuk tuk (qui nous attendait en bas) vient nous chercher… On s’excuse mille fois et redescendons en leur compagnie. Nous irons en fin de matinée boire un jus de fruits frais avec elles. Après une grosse sieste, nous allons nous promener dans la (seule et unique) rue de la ville et prenons un verre dans un petit café au bord d’une rivière. De là, nous pouvons apercevoir l’éléphant d’hier se baignant dans la rivière avec son « propriétaire » (Mahout) armé d’une lance dans la main. Bien évidemment, je me mets à pleurer ( Maeva adore les animaux part 3). Nous décidons de partir, lorsqu’un sri lankais nous interpelle en nous disant : « je t’ai vu pleurer, il faut que vous disiez aux gens de votre pays de ne pas monter sur les éléphants… », nous vous disons donc de ne pas monter sur les éléphants !!!
Fin du périple
Nous retournerons mangé un khotu le soir. Le lendemain, direction Negombo où nous resterons une journée à trainer à la guest house en compagnie de Jean-Pierre (AKA JP dans le milieu), un français vivant à Marrakech, avant notre départ pour la Thaïlande et les retrouvailles avec la famille de Pierre.
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